Victime d'une malédiction divine, Mar'it est vouée à se réincarner sans cesse dans une vie de souffrance ₪ La jeune femme est sujettes aux cauchemars, ceux-ci étant des réminiscences plus ou moins détaillées de ses vies antérieures ₪ Elle aime bien écrire à la plume et refuse tout ce qui est ordinateur et autres instruments du diable. Pour elle, le progrès s'arrête au stylo-bic ₪ Le prochain qui lui fait une blague sur Edgar Allan Poe, elle l'oblige à se faire mettre par Jormügandr ₪ Mar'it collectionne les ouvrages anciens d'escrime. Ses connaissances théoriques sont d'ailleurs souvent appréciées ₪ Mar'it est faite pour la guerre éclair, face à long combat et sans aide, la jeune femme perdrait sûrement. ₪ Elle est souvent utilise dans des missions diplomatiques, d'où sa présence aujourd'hui au Sanctuaire pour illustrer l'alliance entre Athéna et les Guerriers d'Odin ₪ On peut facilement oublier sa présence quand Mar'it ne fait pas l'effort de parler ₪ Calme et réservée, elle va peu vers les autres et se retrouve inconsciemment à l'écart ₪ Elle craint les douleurs à venir que lui promet la malédiction des dieux, même si la jeune femme ne se rappelle même plus la raison de sa punition. Qu'importe, on ne questionne pas les dieux ₪ Si Mar'it sait se battre tout autant que réfléchir, elle est cependant bien plus dangereuse encore une fois associée au porteur de l'armure de Huginn ₪ Elle préfère parler anglais que grec, voir allemand. ₪
A propos de moi:
Croâ Croâ je suis un corbeau. Bon vous me connaissez déjà, double compte de Iason, sexe féminin, plus de la vingtaine et mon petit nom c'est Dieu, voilà. Non, je sais toujours pas me présenter correctement, je sais, c'est pas bien....
Hjärtat vill brista - Ack! när den sista Gången jag hörde kärlekens röst Avskedets plåga, Ögonens låga, Mun emot mun vid klappande bröst.
Götterdämmerung
Te souviens-tu du premier sang, de l'odeur de la nuit et des larmes des dieux ?
Il y avait eut la mort tant de fois, trop de fois. Le cri du corbeau, un appel aux armes, toujours, et sa propre tristesse pour les étoiles tombées du ciel. Que pouvait-il briller à présent, vers quelle gloire se tourner ? La main d'un dieu sur sa joue, celle d'un père tout puissant pour l'éloigner à jamais du soleil et pourquoi supplier ? Depuis le Hall d'Odin jusqu'au palais obscur de Hel, nul, dieu comme homme, n'était forgé pour la pitié. La punition, une roue, un cycle, et parfois elle n'atteignait même pas vingt ans. Parce qu'elle était Mar'it, fille de Sven, qu'elle serait toujours Mar'it, fille de Sven et qu'elle s'était dressée contre les dieux.
Une histoire qu'elle-même a oublié, cruauté ou miséricorde impossible à dire, mais le châtiment devait continuer, être payé. Vivre par le sang, l'épée, la haine et les dieux... Les dieux, cela fait bien longtemps que Mar'it n'en a vu un, au point de parfois douter de leur existence entre deux prières creuses à Thor, Baldr ou Odin. Mais qui, si ce n'est eux, la condamneraient à tant de souffrances sinon ? Parfois, comme dans un rêve, il lui semble se rappeler du contact d'une main, d'une silhouette vieille et altière et du cri des corbeaux. Dans une autre vie, dans la première, la toute première, avait-elle été assez forte pour chevaucher à leur côté ? Tant de puissance, celle qu'elle se rêvait parfois, celle qu'elle n'aurait jamais, condamnée à l'Humain face au Sacré. Elle n'avait trahi qu'une fois, la première, celle dont elle ne se souvenait plus. Elle avait trahi les dieux et tous jusqu'à Loki le fourbe, détournèrent le regard de son acte. Pourtant il y avait eu de l'honneur, assez pour des larmes dans les yeux divins, mais l'histoire était trop ancienne, trop inconnue à présent. Un conte, une légende immuable pour des vies et des vies, un éternel recommencement. Pour Mar'it, sa propre existence devenait Ragnarök.
Mais ils avaient été deux.
Deux pour les larmes des dieux, deux pour leur haine, deux pour leur pitié. Deux pour la souffrance et l'éternité...
Mar'it ne savait plus rien de l'homme, ou presque. Un ami, un frère, un amant ? Qu'importe... Et le prix était double. Toujours l'un pour faire souffrir l'autre, toujours. Parce qu'ils avaient été deux. Leur empreinte apparaissait alors au fil des années, au fil des vies, celle d'amants, celles d'ennemis parfois. Ils souffraient de la main de l'autre, ils souffraient pour l'autre aussi et parfois, oh parfois l'absence était pire.
Le vide, la solitude d'une incarnation sans amour, Mar'it s'en rappelait la terreur : elle en cauchemardait encore parfois... Dans ces vies là, elle mourait vieille, elle mourait sans être aimée. Subissait-il aussi pareil châtiment, le toujours Etranger ? Lorsque les Dieux les empêchaient de se retrouver... Une vie incomplète, entre tourments et désolation.
Elle ne se rappelait plus de son nom.
Et cela était miséricorde d'Odin, car les hommes du Nord étaient ses enfants, car devant le cri de haine des Vanes, lui, le dieu des Ases s'était alors dressé, regardant l'homme et la femme sans le moindre sang divin mais déclarant pourtant
« C'est mon Fils... »
« -C'est ma Fille... »
Il était leur Dieu, leur bourreau.
Il avait ordonné le cycle, il avait ordonné l'oubli aussi pour Mar'it, celui du nom, pas de l'homme. Car la douleur avait ses degrés, ses échelles, et Odin en maniait les subtilités. Pas le nom de l'homme, pas la trahison qu'il avait commise à son égard, alors elle redevint vierge de son cœur à lui pour chaque nouvelle vie, chaque. Jusqu'à se faire trahir encore, jusqu'à souffrir, mourir à ses côtés ou bien loin, trop loin de lui lorsque lui se rappelait son nom à elle, toujours, et tout son amour. Un amour brûlant, débordant, un amour qu'il renierait également pour chaque nouvelle vie, pour la trahir aussi perfidement qu'eux-même avaient trahi les dieux, et il ne pouvait même pas en pleurer. Parce qu'ils étaient les plus laids des enfants d'Odin, dans le cœur et l'âme, pour avoir osé cela. Parce qu'il étaient les plus beaux aussi, les biens aimés et seul Loki le Fourbe pouvait-il comprendre, peut-être, lui-même père de tant de monstruosités.
Au commencement était la Chasse Sauvage, équipage de folie pour les meurtres et le sang. Porté par l'écume de Sleipnir, Odin la chevauchait souvent pour une biche comme pour un homme, une vierge ou un enfant. Sans distinction, la Chasse tuait, abandonnant à ses victimes une mort honorable, une de guerrier. Alors, sans espoir de festins dans les Halls dorés d'Odin, les âmes rejoignaient la froide Hel pour une éternité de calme et de mort. Mais il y avait un nombre. Le nombre. Car même pour quelque chose d'aussi barbare, une loi se devait d'être respectée. Les victimes ne dépasseraient jamais le Nombre. Jamais.
Il advint qu'Odin eut çà régler ses propres guerres. Il abandonna la Chasse au commandement d'un jeune dieu d'envie et d'orgueil et le Nombre disparut. Le Père de Tout, perdu en des contrées étrangères, se battant aux côtés de Thor et de tant d'autres braves, n'en sut rien. La Chasse tuait désormais tout sur son passage. Alors vint Mar'it, guerrière d'Asgard déjà, non point la cité divine mais le pays de ceux naissant par les armes et le sang. Elle n'avait pas d'armure alors, juste son jeune cœur, juste la force de ses yeux combinée à celle de son épée. Un homme l'aimera assez pour se dresser avec elle contre les dieux en furies, contre la Chasse toute puissante et contre l'amour même de son pays. Ensembles ils choisirent de trahir, d'en appeler à Poséidon dieu des mers. Dieu des Grecs. Ennemi d'Asgard.
Par la ruse de Mar'it et celle de l'Etranger, celui dont le nom sans cesse lui échappait, la Chasse Sauvage fut précipitée dans les flots tourbillonnants, emportant avec elle son petit dieu capitaine et les chasseurs d'Odin. Poséidon et ses Marinas les réduisirent en pièce faisant bouillonner de rouge les eaux de la mer. Une victoire pour le dieu aquatique, une humiliation pour Odin.
Elle aurait pu fuir, Mar'it aux yeux clairs, rejoindre définitivement le camps de Poséidon, mais tout ce qu'elle avait accompli de plus ignoble, elle l'avait fait par amour et en accepterait la punition. Amour d'un pays, amour des hommes que la prétention d'un seul dieux, désormais anonyme, aurait pu détruire.
Et Odin les condamna alors, elle, l'Etranger. Toujours mourir, toujours se réincarner, se trouver, se trahir. Toujours se battre aussi, pour l'honneur. Le Dieu Borgne le savait, il avait été trop occupé à la Guerre pour empêcher un massacre de l'humanité. Nul n'avait à s'opposer aux dieux, pourtant ces actions ne pouvaient être reprochées. Alors, pour louer le courage des deux humains, en plus de la solitude et des tourments, Odin les condamna à la violence et aux batailles. Qu'un jour, ils puissent être braves tout en restant honorables. Qu'un jour, ils puissent avoir l'espoir d'être pardonnés et de mourir enfin une dernière fois pour festoyer dans les Halls d'Odin.
Et Loki le fourbe, qui voyait tout aussi loin qu'Heimdall peut être, savait, lui. Il savait que la mer bouillonnait encore des flots sanguins et que la Chasse attendait, prête au carnage à nouveau. La Chasse non plus d'Odin, mais celle de Poséidon.
Il savait également une dernière chose, une qu'il ne répéterait jamais, pas même pour condamner les deux humains :
Odin ne pardonnait jamais.
Die Walküre
Elle était née avec la marque, là, sur son épaule de nourrisson. Comme un œil géant et unique, capable de tout voir, de tout comprendre, capable de juger aussi. La marque d'une femme chantée dans les sagas, souvent en mal, parfois en bien. On parlait de pitié, de mort, d'amour perdu, de trahison, de vierge guerrière jamais. Pas assez pure pour cela et elle, petit bébé tenu dans les bras de son père, elle ne pouvait en avoir conscience.
Mar'it, celle qui voit le monde. Cela avait toujours été le nom, cela le resterait. Des yeux bleus, l'amour d'un père, l'histoire s'adoucirait-elle ? Non point, jamais... Telle était la volonté d'Odin. Celle qui entraînait la haine d'une mère envers sa chair, son sang : mauvaise fille, bonne à rien. Mar'it eut à grandir dans les insultes et le silence. Son silence. Les yeux fuyants de son père aussi, lui capable d'affronter des monstres mais impuissants devant la colère de sa femme, car n'était-elle pas volonté des dieux ? Son père. Un guerrier d'Asgard, pas la cité divine, mais quelque chose d'autre. Très tôt, il l'avait amené à la prêtresse d'Odin, cherchant à deviner le rôle de l'enfant dans l'histoire à venir. Fallait-il l'entraîner ou bien cela serait-il blasphème envers ceux qu'il avait trahi il y a trop longtemps de cela ?
On lui donna une épée, on lui donna des coups et son sang souilla plusieurs fois la neige d'Asgard. Jamais de pitié pour elle, jamais d'amis non plus. Solitude, car elle avait la marque et si la jeune fille pouvait poursuivre un idéal d'honneur, jamais elle ne l'atteindrait. Les mots d'Odin, depuis le début... Pourquoi alors lui donner à suivre le chemin de ses Guerriers ? Nul ne questionne un dieu. Il advint que son père eut à mourir, Mar'it le pleura un peu, regrettant de n'avoir pas été la petite fille dont il aurait pu être fier. Puis, elle reprit ses armes et ses combats face à des adversaires sans pitié à qui les dieux, eux, ne refuseraient aucune gloire.
Mar'it restait seule, sans jamais personne à qui parler. En plus du combat, elle son plongea dans l'étude, trouvant à la faveur des livres un substitut à la solitude. Personne ne la plaignait, elle avait la marque. En son cœur, un hiver se développait et la jeune femme doutait de l'arriver du printemps. Elle savait avoir connu bien pire dans ses vies antérieures, mais la douleur la mordait malgré tout tel un loup furieux. Parfois, elle rêvait d'un homme, eux qui ne la regardaient jamais sinon avec dégoût et mépris.
Et puis un jour, comme un début de Pardon Divin, elle devint Mar'it, Gardienne de Muninn. La mémoire, celle de ses vies passées, de celles à venir aussi, un cycle de souffrance. Une pureté nouvelle aussi, celle d'une armure qu'elle endossait désormais, différente de celle de son père mais qui aurait pu le rendre fier lui aussi.
Son style de combat particulier, ses qualités de discrétion et ses dons en matière de parole la firent souvent utilisé autant comme espionne que comme diplomate. De toute manière, Muninn ne pourrait partir au combat sans Huginn bien que Mar'it appréhendait le jour où on lui donnerait pour consigne de faire équipe avec le gardien de l'autre corbeau. En attendant, la Grande Prêtresse l'avait envoyé loin des siens. Des siens qui l'avaient toujours rejetés.
A l'approche d'une nouvelle Guerre Sainte, les Chevaliers d'Athéna avaient en effet demandé une alliance avec Asgard. En signe de bonne volonté, on leur envoyait donc Mar'it pour se mêler à eux et appeler Asgard à l'aide lorsque les ténèbres deviendraient soudain cause de trop de souffrances. Le Sanctuaire était un endroit étranger à ses yeux, si le Grand Pope savait pour la marque et sa significations (malheur, oui malheur et souffrance, toujours), les chevaliers, eux, non. Ils ne possédaient de ce fait aucun motif pour la rejeter si ce n'est une méfiance latente à l'écart d'Asgard. Qu'importe, Mar'it s'entraînait à leur côté désormais, Valkyrie maudite réapprenant à parler la langue des hommes, celle sans souffrances et silences.
L'hiver en son cœur commença à fondre un peu. Et la guerre grondait, implicite, prémonitoire.... Prémonitoire comme les souffrances et la trahison à venir.
Non, Odin n'avait pas pardonné. Il ne pardonnait jamais...
Sujet: Re: Mar'it - Speak to me, Ravenheart Ven 13 Déc - 21:08
Re-bienvenue Mar'it ! J'ai hâte d'en savoir plus sur ton personnage, même si j'ai eu un petit avant gout. N'oublie pas même si ça a été fait d'aller signaler ta demande de dc dans le sujet de retrait de points Pour le reste, tu sais quoi faire ^^ Bon courage !
Iason Atridis WYVERN ₪ Revenge and Perseverance
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Sujet: Re: Mar'it - Speak to me, Ravenheart Sam 21 Déc - 9:54
Bon, je viens de finir la partie de la fiche qu'il me manquait, et je n'ai rien à dire. Quelques petites fautes de frappe sans doute qui font dire "uh, attends, whut?" mais rien de problématique, ton style m'est toujours aussi agréable. J'ai adoré ton histoire, j'ai hâte de te voir lancée en rp ! Je laisserai Joshua jeter un oeil pour te valider ^^
Agnès de Montfort Styx ₪ The Shadow of Death
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Sujet: Re: Mar'it - Speak to me, Ravenheart Sam 21 Déc - 15:36
Bienvenue !
₪ ₪ ₪
Tout d'abord, bravo pour ta fiche Mar'it! Alors un style toujours aussi particulier mais efficace. Je trouve juste dommage que tu t'es investi dans son passé, ses vies antérieures et sa malédiction mais pas dans sa vie actuelle, son entraînement et ce genre de détail... Peut-être était-ce un choix ou un oublie. En tout cas, je valide avec plaisir et te souhaite bon jeu avec ce personnage. Au vu de ton personnage et de ta fiche, le staff t'accorde le niveau - Il me faudrait tes années d'entraînements, et depuis combien de temps tu portes ton armure svp
Te voilà donc officiellement validé ! Toutefois, ne pense pas que les choses s'arrêtent là, au contraire elles ne font que commencer ! Dans un premier temps, le staff se chargera de toutes les tâches administratives barbantes, tout ça tu n'as donc pas à t'en charger. Nous t'ajouterons au sujet chronologie du forum, nous te demanderons peut-être par mp des précisions pour les dates, n'hésite pas à corriger si tu vois que nous avons fait une erreur. Toutefois, nous te demandons dès à présent de compléter ton profil et d'activer immédiatement ta fiche de personnage si nous ne l'avons déjà fait et de remplir les champs à compléter. N'oublie pas de remplir, dès que tu auras posté, les champs indiquant ta fiche de présentation, de lien, et ta fiche technique. Nous t'invitons ensuite à ouvrir ta fiche de liens qui pourra aussi contenir la liste de tes RPs en cours, puis à prendre connaissance du système de points qui te sera utile tout au long du jeu pour obtenir des bonus. De même, nous t'invitons à prendre dès à présent connaissance du système de combat. Il ne te sera peut-être pas utile immédiatement, mais autant t'y familiariser en théorie. Tu peux aussi dès à présent publier ta fiche technique. Si tu peines à trouver un lien précis et que tu n'ose pas le proposer directement à un joueur, tu peux faire une demande de liens dans le sujet spécifique. Tu peux aussi d'ores et déjà te jeter à l'eau et ouvrir ton premier rp ! Si tu cherches un partenaire et que tu as une idée de rp, ou qu'au contraire, tu ne sais pas par où commencer, n'hésite pas à faire une demande de rp ou à trouver un partenaire dans la liste des rp déjà proposés ! Ce sujet est à ne pas oublier, il pourra t'être utile tout au long du jeu, surtout si tu souhaites un rp avec un PNJ. Tu y a sans doute déjà fait un tour mais les annexes sont là pour te guider si tu as une question, sinon n'hésite pas à mp un membre du staff. Et puis, entre deux rp, aide nous à promouvoir le forum en votant, cela te rajoute automatiquement des points si tu postes dans le sujet une fois que tu as bien voté pour chaque top site !
A très vite en RP !
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Sujet: Re: Mar'it - Speak to me, Ravenheart Sam 21 Déc - 18:24
C'était un choix, Joshua, pour pouvoir mieux explorer cela en rp avec d'autres Asgardiens notamment et donc ne rien bloquer et ouais, ma manie de faire des fiches à pas d'heures => des grosses fautes, voir des lapsus, j'me dis tjrs que je relirais le lendemain à tête reposée et le lendemain...tralala youpi je fais autre chose
Merci pour la validation
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Sujet: Re: Mar'it - Speak to me, Ravenheart
Mar'it - Speak to me, Ravenheart
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